Pathologies thyroïdiennes : pourquoi faut-il les prendre au sérieux ?

Pathologies thyroïdiennes : pourquoi faut-il les prendre au sérieux ?

Pathologies thyroïdiennes : pourquoi faut-il les prendre au sérieux ?

Pathologies thyroïdiennes : pourquoi faut-il les prendre au sérieux ?

Il s’agit tout d’abord de rappeler certains facteurs de risque favorisant les pathologies thyroïdiennes tels que (i) son hérédité, c’est-à-dire que les maladies apparaissent souvent chez les individus d’une même famille ; (ii) sa particularité  concernant les goitres et les pathologies auto-immunes. 

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A noter que les maladies thyroïdiennes  chez les individus de la même famille peuvent apparaître différemment, par exemple le cancer thyroïdien par rapport à un nodule thyroïdien.  A noter que les pathologies thyroïdiennes sont plus fréquentes chez les femmes, car selon les statistiques 80% des malades sont du sexe féminin.

Les autres facteurs favorisant les pathologies thyroïdiennes

La carence en iode est classée parmi les causes environnementales des pathologies thyroïdiennes. A noter que la thyroïde a besoin suffisamment d’iode pour fonctionner normalement, au risque d’augmenter les nodules thyroïdiens et les goitres.

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Pourtant, il faut éviter l’excès d’iode  qui est nuisible pour la santé. L’irradiation ou l’exposition à des rayonnements radioactifs entraîne le cancer de la thyroïde. A noter que les filles sont plus sensibles par rapport aux garçons jusqu’à l’âge de 35 ans. Il y a aussi la pollution qui favorise la survenue des pathologies thyroïdiennes, notamment les polluants chimiques et les pesticides. Certains médicaments peuvent également provoquer le cancer thyroïdien.  Les mauvaises habitudes par rapport  au tabagisme peuvent être à l’origine des pathologies  thyroïdiennes qui peuvent aussi survenir en cas de stress non contrôlé.

Les mesures à prendre

Il faut prendre au sérieux les pathologies thyroïdiennes car les complications peuvent entraîner la mort. En effet, il faut commencer par surveiller l’alimentation, surtout il faut éviter l’excès en iode et consommer avec modération les crucifères (différents choux, brocolis, etc.), le soja, le thé vert, le manioc mal cuit, le millet, etc. L’automédication est à proscrire car certains médicaments  favorisent le risque d’hypothyroïdie sinon le cancer de la thyroïde. La femme enceinte et/ou en allaitement doit éviter l’abus de tabac car ceci risque de diminuer l’iode dans le lait maternel entraînant l’atteinte de la thyroïde du nourrisson.